• C'est l'histoire de Gaspard, 11 ans dont le rêve est d'être rugbyman, le problème c'est que ses parents ne veulent pas veulent pas qu'il réalise sa passion de peur qu'il se blesse d'un peu partout:

    - Maman, je veux faire du rugby, dit Gaspard.

    - Mais non tu sais bien que si tu en fais tu vas revenir avec une fracture du tibia.

    Chaque jour Gaspard les bassine avec cette histoire. A la fin, les parents finissent par lâcher.

    - Bon tu sais quoi Gaspard, on va t'inscrire mais je te préviens, si tu reviens blesser de n'importe quel endroit, on t'enlève du cours même si c'est en cours d'année, dit Véronique la mère de Gaspard.

    Le mercredi suivant, Gaspard partit à son premier cours de rugby. Quand il revint il avait des bosses mais rien de grave. A l'école Gaspard se débrouille assez bien et est surtout très bon en sport. Le mercredi, quand Gaspard alla à son cours de rugby sa mère décida de voir le cours. Et la quand elle vit l'intensité du cours, quand elle vit les coups que se prenait Gaspard, elle perdit la tête. A la fin du cours elle appela Gaspard et dit:

    - Mais tu es fou! C'est quoi ce cours de malade, tu vas te blesser tu vas avoir un traumatisme crânien.

    - Mais non maman, mais non.

    Dans la voiture qui raccompagnait Gaspard Véronique ne parlait que de ça. Le soir quand elle dit ce qui se passait au cours de rugby à son mari, Henri, il parut horrifié. Et à chaque fois que un des deux parents allait le chercher c'était la même histoire. Trois semaines après, les parents commencèrent a s'habituer au quotidien de leur fils. Jusqu'au jour ou quand Henri alla chercher Gaspard a son cours de rugby, ce dernier ne pouvait plus bouger son poignet, il alla faire une radio, résultat, poignet cassé. A ce moment Henri explosa de colère, cria sur Gaspard il était au bord de le frapper. Quand Henri annonça la nouvelle a Véronique, même chose, elle explosa de colère. Depuis, les parents s'étaient jurés de ne plus mettre leur fils dans un cours de  rugby. Pendant deux mois Gaspard ne put plus bouger son poignet. Pour Gaspard ce fut une torture. Trois mois après, Gaspard put enfin refaire du sport. Et la, au sport a l'école ils faisaient du rugby. Gaspard se donnait a fond, et, à la fin du cours le prof appela Gaspard et dit :

    - Gaspard, as tu jamais pensé à faire du rugby en club ?

    - si, mais mes parents sont contre, ils disent que je vais me blesser, ce qui m'est d'ailleurs déjà arrivé au rugby.

    - je les comprends, dit le professeur de sport

    Et quasiment a chaque fin de cours de sport, Gaspard discute avec le prof de sport. Jusqu'au jour ou le prof de sport décide de appeler les parents de Gaspard pour parler du talent de leur fils. Au début, les parents ne veulent pas mais a force d'être appeler ils finissent par lâcher. Le mercredi, Gaspard partit donc au cours de rugby. A la fin du cours Véronique vient le chercher et voit Gaspard avec une énorme griffure au coup, elle lui demande:

    - Bin, qu'est-ce qui t'es arrivé au cou?

    Et la Gaspard répond:

    - Ce sont les risques du métier.


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  • le déclic

    Maman je peux débarrasser la table ? dit Frédéric.

    Bien sur,  répondit sa mère.

    Frédéric vit dans une famille qui a des problèmes d’argent. Il vit en montagne dans le plus petit chalet de la ville, il est fils unique et a treize ans. Il fait tout pour aider ses parents. Sa mère est femme de ménage et son père sans emploi. Chaque fin de mois c’est la galère pour payer le loyer. Le lendemain, le lundi, il alla à l’école.

    - Papa je vais à l’école il est huit heures.

    - Ok,  répondit son père.

    A l’école, Frédéric fait tout pour bien travailler car il sait que s’il travaille bien, il pourra trouver un travail et aider ses parents,  le problème, c’est que les autres élèves se moquent de lui car il n’a pas de téléphone portable.

    -          Alors Frédéric, t’appelles tes parents ? se moque Nicolas 

    Chaque jour, il subit ces moqueries, et cela le décourage, donc il travaille moins bien, donc il obtient des moins bonnes notes et ça le décourage, ça n’en finit pas.

    Le lendemain alors qu’il s’apprêtait à aller à l’école, son père l’appela et lui dit la nouvelle qui allait tout changer. 

    -          Frédéric, ta mère a été virée.

    Là, plus un bruit ne se fit entendre.

    En ce moment, elle est partie pour essayer de trouver du travail, sinon elle pense faire du baby-sitting, ce qui à mon avis ne sera pas suffisant pour payer le loyer, dit son père

    A l’école, Frédéric était plus déterminé que jamais à bien travailler.

    Le lendemain matin, Frédéric entendit des cris provenant du dehors. Il regarda par la fenêtre et vit la maison des voisins d’en face en feu.  La maison de la famille Chico. Il se rua dehors et vit monsieur Chico entrain d’appeler les pompiers et madame Chico crier :

    -          au secours, mon enfant !!!

    Frédéric comprit donc qu’il y avait un enfant coincé dans la maison.

    Il fonça donc dedans, chercha l’enfant au rez-de-chaussée, ne le vit pas, fonça donc au 1er étage et  le vit allongé par terre dans une pièce que l’on ne pouvait pas reconnaitre à cause de la fumée et du feu. Il le prit et descendit au rez-de-chaussée. Il avait de plus en plus de mal a respirer.

    Quand il arriva devant la porte d’entrée, il était en apnée et quand il fit un pas dehors avec l’enfant, il s’écroula, inconscient.  Quand il se réveilla quelques heures plus tard, il était allongé sur un lit et deux femmes étaient au dessus de lui entrain de le fixer. Frédéric demanda :

    -          Qui êtes vous et où suis-je ?

    -          Nous sommes des infirmières et tu es à l’hôpital Saint-Georges de la Baulette

    -          Mais pourquoi suis-je dans un hôpital ? demanda Frédéric qui avait tout oublier.

    -          Bon, dit une infirmière, on va voir si tu as vraiment perdu la mémoire.

    -          Moi perdu la mémoire ! s’exclama Frédéric,  mais pas du tout, je m’appelle  Frédéric,  j’ai treize ans, j’ai deux parents, y’avait un incendie chez les voisins et je suis allé chercher un enfant...

    -          STOP !!!bon, déjà on sait que t’as pas perdu la mémoire j’avais juste a dire ça pour que tout te revienne mais sinon redis ce que tu viens de dire.

    -          Y’avait un incendie chez les voisins et je suis allé chercher un enfant, un enfant, un incendie ! il va bien l’enfant, il est en vie ?

    -          Oui, il va bien il, est en vie.

    -          Je peux aller le voir? demanda  Frédéric.

    -          Oui tu peux, dit une infirmière.

    Les infirmières lui indiquèrent ou était la chambre du jeune homme, arrivé dans la chambre, il dit :

    -          Tu ne dois surement pas me reconnaitre.

    -          Effectivement je ne te reconnais pas, dit un garçon d’environ six ans.

    -          C’est  normal tu ne m’as pas vu lors de l’incendie, en fait c‘est moi qui t’ai sauvé.

    -          C’est vrai ?

    -          Oui.

    -          Bah, merci.

    -          Je pense qu’à ma place tout le monde aurait fait ça.

    -          J’en suis pas si sur. Répondit l’enfant.

    -          Ah, au fait comment t’appelles-tu?

    -          Moi c’est Thomas, et toi ?

    -          Frédéric. 

    -          Bon bah a bientôt , dit Thomas.

    -          A bientôt.

     

    Frédéric passa une autre nuit a l’hôpital et put rentrer chez lui le vendredi. Il décida de rester chez lui pour se reposer. Le dimanche son père lui annonça qu’il avait une lettre pour lui. Frédéric la lut attentivement. Il était marqué

     

     

    « Cher Frédéric, j’ai appris que tu avais sauvé un enfant d’un terrible incendie, pour remercier ce geste de bravoure extrême je t’invite a venir a l’hôtel de ville dés que tu le pourras

     

     

                                                                                                    Infiniment merci monsieur le maire. »

    -          Papa je vais à l’hôtel de ville, dit Frédéric.

    -          Quoi mais tu vas faire quoi là-bas ?

    -          Je t’expliquerai.

    o   Frédéric sortit et fonça vers l’hôtel de ville. Quand il fut arrivé deux gardes lui demandèrent :

    -          Qui es tu et que fais tu ?

    -          Je m’appelle Frédéric Ritou et le maire m’a envoyé une lettre disant que je vienne.

    -          D’accord vas-y alors.

    -          Merci.

     

    Arrivé dans le hall d’entrée, Frédéric demanda ou était placé le bureau du maire. Le problème c’est que pas beaucoup de personne le savait. Il fallut attendrez la cinquième personne pour le savoir. Le bureau du maire est situé au deuxième étage troisième porte à droite. Frédéric arriva dans le bureau du maire et dit timidement :

     

    -          Bonjour, je suis Frédéric Ritou.

    -          Ah bonjour Frédéric, dit le maire, encore merci pour ton sauvetage. Que voudrais tu.

    -          Aider mes parents.

    -          Aider tes parents ? Comment ?

    -          En leur donnant de l’argent.

    -          En leur donnant de l’argent ! Bon bah si tu veux  je leur donne mille euros.

    -          Euh je voudrais bien.

    -          Bah alors va chercher ton père ou ta mère. Et dis a un des deux de venir tout de suite. Pour faire un transfert.

    -          Merci, je ne sais comment vous remercier.

     

     

    Frédéric alla prévenir son père, son père alla effectuer le transfert quand il revint il dit a son fils que tout s’était bien passé qu’il avait bien reçu les mille euros. Le soir lors du dîner le père annonça à Frédéric et à sa mère que ce qui venait de se passer lui avait donner de l’espoir et qu’il allait chercher un bouleau. Une semaine après le père, trouva un travail dans le domaine de l’immobilier ce qui va changer la vie de la famille Ritou


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  • C'est l'histoire d'un enfant qui porte toujours les mêmes chaussettes du coup il pue et un jour son père lui dit qu'ils sont invités a une  soirée et qu'il veut bien l'emmener a une condition qu'il change de chaussettes. Le soir sur le chemin qui mène a la soirée le père remarque que ça pue encore donc il demande a son fils:

    -Et je t'avais demandé de changer de chaussettes.

    Et le fils répond:

    Mais je l'ai fais même que mes anciennes chaussettes sont dans ma poche

     

     

          QU'IL EST BÊTE biggrin


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  • Vous savez parfois, sur les routes, il y a des bosses ça s'apelle des dos d'ânes.Et ben la, y'a un ami et un conducteur qui sont sur la route et  l'ami dit:

    -Fais gaffes t'as un dos d'âne,

    vu qu'il y en avait un devant. Et le conducteur répond:

    -Ouais, ba toi t'as une tronche d'abruti!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

     

     

     

     

                                     LOL!!!!!!!!! happyhappyhappyhappyhappy


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  • Une mère dit à son fils:

    -N'oublie pas on est sur terre pour travailler.

    -Ah bon? alors moi plus tard je serais marin!!!!!!!!!!!

     

     

     

                                    C'EST BÊTE!!!!!! hehehe


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