• Le mont sacré

     

    Bonjour, je m'apelle Saleck et je vais vous raconter mon histoire:

     

    J'avais 9 ans et depuis que j'étais tout petit je rêvais d'escalader tous les monts du monde car j'étais et je suis toujours persuadé qu'à leur sommet se trouve un trésor. Et il y avait un mont qui tout particulièrement m'attirait, c'était le mont sacré. La légende disait que tout en haut de cette montagne, se trouvait un animal abandonné et que celui qui réussirait à le trouver et le rattraper pourrait exercer un voeux.

    Comme ma famille est très pauvre je tenais absolument à faire ce voeux. Comme beaucoup de personnes tiennent à faire ce voeux, beaucoup d'alpinistes ce lancèrent à l'aventure, mais jusqu'à ce jour on en a retrouvé aucun. Un jour, très tôt le matin, je décidais de partir à la quête de cet animal. Je laissai donc un mot à mes parents expliquant pourquoi je suis parti. Je partis donc avec un sac contenant une gourde remplie d'eau et quelques petits gâteaux. J'étais très excité car pour la première fois je partais seul, sans mes parents, et aussi car je ne savais pas à quoi m'attendre car c'était la première fois que je grimpais un mont.

    Je marchais sans savoir où aller, en même tant difficile de se repérer en plein désert. Après trois heures de marche intensive je vis au loin se dessiner quelques maisons. Cela me donna de l'espoir, beaucoup d'espoir. J'accélerai donc ma marche. Après être arrivé à la première maison de ce petit village, mon premier réflexe fut de sonner a cette première maison. Un vieil homme m'ouvrit et me demanda de rentrer chez lui pour être seul. Je lui expliquai ce que je voulais faire. Et en même temps j'en profitai pour demander si il savait où était placé le mont sacré. Il me dit tout d'abord que c'est un très long périple et que j'avais beaucoup de courage d'essayer un tel périple. Ensuite il m'expliqua ou était situé le mont sacré et me donna une boussole. Après l'avoir remercié je partis plein ouest.

    Après quelques minutes de marche je me sentis honteux car je ne lui avais rien donner en échange. J'espère qu'il me pardonnera me dis-je dans ma tête. Je continuais a marcher quand tout d'un coup une tempête de sable se leva. Vite je fouillais dans ma poche dans l'espoir de trouver un mouchoir. Ouf, je sortis de ma poche un vieux mouchoir. Je le mis sur mon nez et ma bouche. Le vent et le sable me tapaient sur le visage. Cela faisait horriblement mal. Malgré tout je continuais a avancer, je ne voyais pas ma boussole, je ne voyais rien mais j'avançais. Après une demi heure la tempête a commencé a se calmer. Quand j'ai pu enfin voir ma boussole elle affichait que je continuais à marcher vers l'ouest. Et, quand la tempête eut complètement disparu, au loin je distinguais... LE MONT SACRE!!!!!

    Je commençais à courir tellement j'étais content. Après plus d'une heure de course, et un peu de marche, j'ai pu enfin toucher la terre de la montagne que je rêvais de grimper!!! Au début, la montée était douce mais au fur et a mesure d'avancer j'ai vite compris que ce n'allait pas être de la rigolade. Quand le soleil commença a tomber, j'ai vite chercher un abri, ce qui ne prit pas beaucoup de temps car après quelques minutes de marche j'ai vu une grotte parfaite pour m'abriter. J'ai cherché des petites brindilles pour faire du feu quand tout d'un coup, pendant ma recherche, une taupe avec des yeux noirs s'est rapproché de moi ce qui m'effraya. Elle me dit :

    - Je vais te poser une énigme, si tu trouves la réponse tu pourras partir en paix sinon tu mourras. Et elle me dit l'énigme:

     

    Quand mes deux parties s'assemblent je sépare, qui suis-je? Tu as

     30 secondes me dit elle d'un air malicieux.

    Dans ma tête je cherchais à une vitesse énorme...30...deux parties d'un arbre, deux parties d'une vitre ...20...vite vite me disais-je dans ma tête, je me répétais sans cesse l'énigme, quand mes deux parties s'assemblent je sépare, je sépare...5...deux parties d'une feuille,...4... mais pour faire deux parties d'une feuille il faut la séparer en deux...3... mais avec quoi on sépare?...2... avec une scie...1... avec des ciseaux!!!!! Les ciseaux!!!!  Criais-je a la taupe qui disparu aussitôt.

    Le lendemain à l'aube je repris ma marche, j'avançais sans encombre. Arrivé au sommet du mont sacré je vis un petit animal très mignon en train de s'amuser avec des cailloux. Quand l'animal me vit il me sauta dans les bras et me demanda ce que je voulais. Je lui répondis que je voulais que toutes les personnes pauvres et gentilles soient plus riches et qu'elles n'aient plus de problème de santé. Ensuite je partis avec l'animal sur mon dos chez mes parents.

     

     

    Et voilà j'ai fini de vous raconter mon histoire.


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  • -Mathieu, tu viens manger, cria Angélique la mère de Mathieu.

    -Oui, oui j'arrive.

    -T'étais encore sur l'ordinateur, dit Benoît le père de Mathieu.

    -Oui mais avant je lisais.

    Mathieu vit dans une famille sans problème, Mathieu a 18 ans et passe beaucoup de temps sur l'ordinateur, beaucoup trop pour ses parents. Les week-ends quand les parents veulent faire une promenade en vélo,  C'est toujours la même réponse de la part de Mathieu "je révise" même si les parents savent très bien qu'il est encore sur l'ordinateur. Plus le baccalauréat approche plus les parents s'inquiètent pour Mathieu. Six semaines avant le bac les parents décidèrent d'enlever la connexion a internet, comme ça il ne pourrait plus jouer a ces jeux. Le soir lors du dîner, Mathieu demanda:

    -J'ai un problème de connexion a internet depuis l'ordinateur.

    -Oui, c'est nous qui l'avons enlever. Ta mère et moi pensons que tu passes beaucoup trop de temps sur   l'ordinateur. Et comme tu vas bientôt passer le bac, on aimerait que tu passes plus de temps a réviser.

    Le lendemain, le soir Mathieu se mit tout de suite au travail. Pendant toute la semaine qui suivit Mathieu se mit au travail tout seul. Par contre, les jours qui suivirent, les parents sentirent un petit relachement. Il s'enfairemait dans sa chambre. Impossible pour les parents de rentrer. Le soir les parents demandèrent pourquoi est-ce qu'il s'enferemait comme ça:

    -C'est juste pour mieux me concentrer, répondit Mathieu.

    Les parents étaient rassuré de cette réponse. Mais quelque jours après, un évenement va les remettre dans le doute. Deux semaines avant le baccalauréat, les parents rentrèrent plus tôt que d'habitude. Très content ils s'imaginaient voir Mathieu encore une fois enfermé dans sa chambre, mais ça ne se passa pas comme ils l'avaient imaginé. Quand les parents rentrèrent dans la maison ils virent Mathieu assis sur le canapé avec a coté des amis. Sur la table basse était placé une bouteille d'alcool. Angélique cria et surpris Mathieu et ses amis. Les amis partirent a la vitesse de la lumière de la maison.Mathieu n'ut d'autre choix que de rester seul a seul avec ses parents. La seul chose dont il était sur, c'est qu'il allait passé un sale quart d'heure.

    -On te faisait confiance, jusqu'à présent et la, tu viens de nous prouver le contraire, dit Angélique.

    -Et est-ce que c'était vrai l'histoire de "je m'enferme pour mieux mieux concentrer", rajouta Benoît.

    -Non c'était pas vrai, c'était juste pour que vous ne puissiez pas me voir en train de jouer avec mon téléphone, répondit Mathieu.

    -Non mais je sais pas si tu comprends ce que tu viens de dire, tu es entrain de louper tes études,qu'est-ce qu'il faut qu'on fasse, il faut qu'on te suprimme tout objet électronique, il faut qu'on mette des caméras dans ta chambre qui soit relié a des ordinateurs placé partout dans la maison, hein, qu'est-ce qu'il faut qu'on fasse, cria Angélique.

    -Je, je sais pas, bafouilla Mathieu.

    Quelques jours après les parents décidèrent d'aller voir un psychologue au sujet de leur fils. La psychologue leur dit que c'était juste une crise d'adolescence et que pour le faire réviser il fallait lui enlever tout objet électronique, et qu'il fallait que les parents pendant leur temps libre reste a coté de lui plus souvent.  Les parents écoutèrent a la lettre les conseils de la psychologue. Et aujourd'hui Mathieu passe son bac esperons que tout se passe bien.


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  • C'est l'histoire de Gaspard, 11 ans dont le rêve est d'être rugbyman, le problème c'est que ses parents ne veulent pas veulent pas qu'il réalise sa passion de peur qu'il se blesse d'un peu partout:

    - Maman, je veux faire du rugby, dit Gaspard.

    - Mais non tu sais bien que si tu en fais tu vas revenir avec une fracture du tibia.

    Chaque jour Gaspard les bassine avec cette histoire. A la fin, les parents finissent par lâcher.

    - Bon tu sais quoi Gaspard, on va t'inscrire mais je te préviens, si tu reviens blesser de n'importe quel endroit, on t'enlève du cours même si c'est en cours d'année, dit Véronique la mère de Gaspard.

    Le mercredi suivant, Gaspard partit à son premier cours de rugby. Quand il revint il avait des bosses mais rien de grave. A l'école Gaspard se débrouille assez bien et est surtout très bon en sport. Le mercredi, quand Gaspard alla à son cours de rugby sa mère décida de voir le cours. Et la quand elle vit l'intensité du cours, quand elle vit les coups que se prenait Gaspard, elle perdit la tête. A la fin du cours elle appela Gaspard et dit:

    - Mais tu es fou! C'est quoi ce cours de malade, tu vas te blesser tu vas avoir un traumatisme crânien.

    - Mais non maman, mais non.

    Dans la voiture qui raccompagnait Gaspard Véronique ne parlait que de ça. Le soir quand elle dit ce qui se passait au cours de rugby à son mari, Henri, il parut horrifié. Et à chaque fois que un des deux parents allait le chercher c'était la même histoire. Trois semaines après, les parents commencèrent a s'habituer au quotidien de leur fils. Jusqu'au jour ou quand Henri alla chercher Gaspard a son cours de rugby, ce dernier ne pouvait plus bouger son poignet, il alla faire une radio, résultat, poignet cassé. A ce moment Henri explosa de colère, cria sur Gaspard il était au bord de le frapper. Quand Henri annonça la nouvelle a Véronique, même chose, elle explosa de colère. Depuis, les parents s'étaient jurés de ne plus mettre leur fils dans un cours de  rugby. Pendant deux mois Gaspard ne put plus bouger son poignet. Pour Gaspard ce fut une torture. Trois mois après, Gaspard put enfin refaire du sport. Et la, au sport a l'école ils faisaient du rugby. Gaspard se donnait a fond, et, à la fin du cours le prof appela Gaspard et dit :

    - Gaspard, as tu jamais pensé à faire du rugby en club ?

    - si, mais mes parents sont contre, ils disent que je vais me blesser, ce qui m'est d'ailleurs déjà arrivé au rugby.

    - je les comprends, dit le professeur de sport

    Et quasiment a chaque fin de cours de sport, Gaspard discute avec le prof de sport. Jusqu'au jour ou le prof de sport décide de appeler les parents de Gaspard pour parler du talent de leur fils. Au début, les parents ne veulent pas mais a force d'être appeler ils finissent par lâcher. Le mercredi, Gaspard partit donc au cours de rugby. A la fin du cours Véronique vient le chercher et voit Gaspard avec une énorme griffure au coup, elle lui demande:

    - Bin, qu'est-ce qui t'es arrivé au cou?

    Et la Gaspard répond:

    - Ce sont les risques du métier.


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  • le déclic

    Maman je peux débarrasser la table ? dit Frédéric.

    Bien sur,  répondit sa mère.

    Frédéric vit dans une famille qui a des problèmes d’argent. Il vit en montagne dans le plus petit chalet de la ville, il est fils unique et a treize ans. Il fait tout pour aider ses parents. Sa mère est femme de ménage et son père sans emploi. Chaque fin de mois c’est la galère pour payer le loyer. Le lendemain, le lundi, il alla à l’école.

    - Papa je vais à l’école il est huit heures.

    - Ok,  répondit son père.

    A l’école, Frédéric fait tout pour bien travailler car il sait que s’il travaille bien, il pourra trouver un travail et aider ses parents,  le problème, c’est que les autres élèves se moquent de lui car il n’a pas de téléphone portable.

    -          Alors Frédéric, t’appelles tes parents ? se moque Nicolas 

    Chaque jour, il subit ces moqueries, et cela le décourage, donc il travaille moins bien, donc il obtient des moins bonnes notes et ça le décourage, ça n’en finit pas.

    Le lendemain alors qu’il s’apprêtait à aller à l’école, son père l’appela et lui dit la nouvelle qui allait tout changer. 

    -          Frédéric, ta mère a été virée.

    Là, plus un bruit ne se fit entendre.

    En ce moment, elle est partie pour essayer de trouver du travail, sinon elle pense faire du baby-sitting, ce qui à mon avis ne sera pas suffisant pour payer le loyer, dit son père

    A l’école, Frédéric était plus déterminé que jamais à bien travailler.

    Le lendemain matin, Frédéric entendit des cris provenant du dehors. Il regarda par la fenêtre et vit la maison des voisins d’en face en feu.  La maison de la famille Chico. Il se rua dehors et vit monsieur Chico entrain d’appeler les pompiers et madame Chico crier :

    -          au secours, mon enfant !!!

    Frédéric comprit donc qu’il y avait un enfant coincé dans la maison.

    Il fonça donc dedans, chercha l’enfant au rez-de-chaussée, ne le vit pas, fonça donc au 1er étage et  le vit allongé par terre dans une pièce que l’on ne pouvait pas reconnaitre à cause de la fumée et du feu. Il le prit et descendit au rez-de-chaussée. Il avait de plus en plus de mal a respirer.

    Quand il arriva devant la porte d’entrée, il était en apnée et quand il fit un pas dehors avec l’enfant, il s’écroula, inconscient.  Quand il se réveilla quelques heures plus tard, il était allongé sur un lit et deux femmes étaient au dessus de lui entrain de le fixer. Frédéric demanda :

    -          Qui êtes vous et où suis-je ?

    -          Nous sommes des infirmières et tu es à l’hôpital Saint-Georges de la Baulette

    -          Mais pourquoi suis-je dans un hôpital ? demanda Frédéric qui avait tout oublier.

    -          Bon, dit une infirmière, on va voir si tu as vraiment perdu la mémoire.

    -          Moi perdu la mémoire ! s’exclama Frédéric,  mais pas du tout, je m’appelle  Frédéric,  j’ai treize ans, j’ai deux parents, y’avait un incendie chez les voisins et je suis allé chercher un enfant...

    -          STOP !!!bon, déjà on sait que t’as pas perdu la mémoire j’avais juste a dire ça pour que tout te revienne mais sinon redis ce que tu viens de dire.

    -          Y’avait un incendie chez les voisins et je suis allé chercher un enfant, un enfant, un incendie ! il va bien l’enfant, il est en vie ?

    -          Oui, il va bien il, est en vie.

    -          Je peux aller le voir? demanda  Frédéric.

    -          Oui tu peux, dit une infirmière.

    Les infirmières lui indiquèrent ou était la chambre du jeune homme, arrivé dans la chambre, il dit :

    -          Tu ne dois surement pas me reconnaitre.

    -          Effectivement je ne te reconnais pas, dit un garçon d’environ six ans.

    -          C’est  normal tu ne m’as pas vu lors de l’incendie, en fait c‘est moi qui t’ai sauvé.

    -          C’est vrai ?

    -          Oui.

    -          Bah, merci.

    -          Je pense qu’à ma place tout le monde aurait fait ça.

    -          J’en suis pas si sur. Répondit l’enfant.

    -          Ah, au fait comment t’appelles-tu?

    -          Moi c’est Thomas, et toi ?

    -          Frédéric. 

    -          Bon bah a bientôt , dit Thomas.

    -          A bientôt.

     

    Frédéric passa une autre nuit a l’hôpital et put rentrer chez lui le vendredi. Il décida de rester chez lui pour se reposer. Le dimanche son père lui annonça qu’il avait une lettre pour lui. Frédéric la lut attentivement. Il était marqué

     

     

    « Cher Frédéric, j’ai appris que tu avais sauvé un enfant d’un terrible incendie, pour remercier ce geste de bravoure extrême je t’invite a venir a l’hôtel de ville dés que tu le pourras

     

     

                                                                                                    Infiniment merci monsieur le maire. »

    -          Papa je vais à l’hôtel de ville, dit Frédéric.

    -          Quoi mais tu vas faire quoi là-bas ?

    -          Je t’expliquerai.

    o   Frédéric sortit et fonça vers l’hôtel de ville. Quand il fut arrivé deux gardes lui demandèrent :

    -          Qui es tu et que fais tu ?

    -          Je m’appelle Frédéric Ritou et le maire m’a envoyé une lettre disant que je vienne.

    -          D’accord vas-y alors.

    -          Merci.

     

    Arrivé dans le hall d’entrée, Frédéric demanda ou était placé le bureau du maire. Le problème c’est que pas beaucoup de personne le savait. Il fallut attendrez la cinquième personne pour le savoir. Le bureau du maire est situé au deuxième étage troisième porte à droite. Frédéric arriva dans le bureau du maire et dit timidement :

     

    -          Bonjour, je suis Frédéric Ritou.

    -          Ah bonjour Frédéric, dit le maire, encore merci pour ton sauvetage. Que voudrais tu.

    -          Aider mes parents.

    -          Aider tes parents ? Comment ?

    -          En leur donnant de l’argent.

    -          En leur donnant de l’argent ! Bon bah si tu veux  je leur donne mille euros.

    -          Euh je voudrais bien.

    -          Bah alors va chercher ton père ou ta mère. Et dis a un des deux de venir tout de suite. Pour faire un transfert.

    -          Merci, je ne sais comment vous remercier.

     

     

    Frédéric alla prévenir son père, son père alla effectuer le transfert quand il revint il dit a son fils que tout s’était bien passé qu’il avait bien reçu les mille euros. Le soir lors du dîner le père annonça à Frédéric et à sa mère que ce qui venait de se passer lui avait donner de l’espoir et qu’il allait chercher un bouleau. Une semaine après le père, trouva un travail dans le domaine de l’immobilier ce qui va changer la vie de la famille Ritou


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